Les guedins, les geudins

Putain BenCoq, on préférait quand tu avais du boulot et que tu courais (au moins tu nous cassais pas les yeuks avec ce spam quotidien d'articles à 2 €). Pas de ma faute mes clients sont en congés, et le marathon de Stockholm est derrière moi. Un petit 20 km se profile à l'horizon mais ce n'est pas le même entrainement ...
Attention : Vidéo de psychopathe.
"Revolution day", un jour qui porte bien son nom. Peut-être une journée normale pour un membre du Nitro Circus (Pour ceux qui ne connaissent pas c'est JackAss mais en plus barré, je vous laisse donc imaginer) mais on peut largement la qualifier d'historique pour l'évolution du BMX (Pour ceux qui ne connaissent pas c'est du vélo freestyle).
2 compères, Jed Mildon et son collègue James Foster se tirent la bourre, l'un aux Etats-Unis, l'autre en Nouvelle Zélande pour savoir qui des 2 rentrera le premier un quadruple (oui, oui, vous avez bien lu quadruple comme quatre) backflip en BMX.
Pas con comme idée. Tu fais quoi ce WE ? Je tente un quadruple backflip. Sympa non ?
Donc allons y gaiement, on envoie la sauce sur un tremplin de fou furieux et donc ce qui doit arriver arrive, à savoir les mecs se prennent des boites monumentales (un des 2 va juste se péter les côtes avant d'être évacué en ambulance). Je ne sais pas comment il trouve la déter (abréviation de détermination pour toi qui ne parle pas le djeuns dans le texte) pour se lancer dans la rampe. Je vous raconte pas la fin mais vous avez deviné, un de 2 fils de moine arrive à le replaquer. Just amazing !

Pas de panique, je suis bientôt en congés, je vais arrêter de vous embêter.

The fucking summer electro playlist 2015

A la demande de ma fille qui doit réviser son "Inox Festival" pour la rentrée (Ok ok private joke, mais j'ai bien le droit, non ? C'est mon blog after all), dernière compilation electro techno de l'été. Après promis j'arrête je vous mets une play list métal.

Premier extrait pour s'ambiancer sur le roof bar d'un design hotel à siroter des cocktails aussi hors de prix que pas vraiment bons (Toute ressemblance avec le tube 2014 du remix de Robin Schulz de Lilly Wood et les Prick ne serait qu'une pure coincidence. Mais bon, on ne change pas une formule qui gagne).

Second extrait, à écouter dans la caisse en direction du club, la tête enivrée de cocktails chics, chers et pas bons.

Enfin, après avoir gobé 2 X avec un shot de vodka red bull, devenir "The king of the dancefloor" (ou pas ! N'est pas Benjamin Millepied qui veut ...) avec cette dernière tuerie électro techno postée sur YouTube il y a 10 jours.

Exclu Lulu,

Merci ki ? Merci Bibi !

Bonus Track

Si toi aussi, lecteur fidèle :

• tu aimes Izia (bon, ceux qui ne la connaissent pas ne sont clairement pas des lecteurs assidus, vu que ça fait déjà 1000 ans que je parle d'elle dans mon blog)
• tu es né(e) dans les années 70-80 et que par voie de conséquence tu ne peux pas ne pas connaitre ce fameux tube (le seul ? ah non c'est vrai il y a "J'ai vu" aussi) de Niagara "Pendant que les champs brulent" et qu'accessoirement tu kiffes de ouf cette chanson ce qui est mon cas (ça tombe bien c'est mon blog)

Alors tu adoreras (du moins je l'espère) Izia qui chante "Pendant que les champs brulent".

Ci-dessous un extrait live de sa prestation sur OuiFM.
Juste Izia, si tu lis ce blog, petit conseil de fan : fais gaffe maintenant les émissions de radio sont filmées, essayes de pas venir fringuée comme un sac la prochaine fois. Heureusement la voie atomique fait oublier les mauvaises tatanes.

 

Song Of the Week : DATA Don't Sing

Eux c'est qui ?

Franchement je n'en sais rien et je m'en fous. En revanche (car on ne dit pas "Par contre"), j'adore cette mélodie entrainante et entêtante qui sent bon le sable chaud.

Chanson à mettre à fond la caisse, un peu bourré, en before avant d'aller en résoi :-)

Et aussi et surtout parce que le clip est atomique (je vous laisse juger par vous même)

Dim Sum cuvée 2015

What the hell are you talking about ? Dim Sum ???

Dim Sum : Si le nom de ce groupe d'indie dance (classy le terme ...) n'est pas resté à jamais graver dans la postérité, leur hit de 2014 "Coucou disco" lui plus. D'autant plus depuis qu'une certaine marque d'électroménager l'a utilisé comme accompagnement musical d'une de ses publicités, après avoir lu mon blog :-) ces bandes de batard (on peut vérifier j'ai écrit l'article avant la pub), je ne peux plus l'écouter maintenant, ça m'y fait trop penser.

Un peu comme Carrefour J'Optimisme (c'est Djamel 2 bouses qui a fait le slogan ou quoi ?) sur fond de Lilly Wood & The Prick. Elle est niquée maintenant la chanson.

Avant qu'elle ne fasse demain l'habillage musical  éventuel d'une prochaine pub débilitante, la version 2015 de Dim Sum : "High Love". On reconnait bien le clavier des années 80 (Intro digne de Scotch "Take me up" que seuls les moins de 30 ans ne peuvent pas connaitre, j'ai vérifié c'est sorti en 1985) de nos amis normands (car comme son nom ne l'indique pas, Dim Sum est français et non vietnamien. French Touch quand tu nous tiens).

C'est chic, entrainant, et ça donne envie de boire du rosé.

Je sais tout est prétexte à boire du rosé, pas étonnant avec cette chaleur de trou de balle.

Bonne nuit.

Rock Summer 2015

Force est de constater que la tonalité de ce blog lorgne de plus en plus vers l'électro, et moins vers le rock (Faut-il y voir le signe avant coureur d'une sagesse affirmée post quarantaine ?).

En gros je vieillis donc j'écoute de la musique de papi,

Que nenni !!!

Après cette allitération riche en "i" (On croirait lire un texte de Maitre Gims "Mon refré, j'suis désolé J'aurais aimé te rendre la monnaie". On va encore dire que j'exagère et pourtant c'est bien l'intro de "On s'fait du mal" avec plus de 21 millions de vue sur YouTube. On dit que la Grèce va mal, la France aussi)

Bien après cette introduction brouillone, revenons à nos moutons avec ma sélection rock de cet été.

 

FFS

Tout d'abord les FFS, je vous vois déjà venir avec vos jeux de mots pourris sur la Fédération Française de Ski, vous n'y êtes pas du tout. FF comme Franz Ferdinand (Que celui qui n'a jamais dansé, un peu bourré - comment faire sinon ?- sur "Take me out" me jette la première caillasse) et S comme Sparks (Et eux c'est qui ? J'en sais rien. Je ne suis pas censé connaitre non plus tous les groupes de la planète, non plus !).

On pourrait donc dire : Alliance récente des fougueux écossais Franz Ferdinand et des dandys américains Sparks, FFS décocte une potion électro-rock dans laquelle baigne un zeste de new-wave et un nuage de punk, clairement orientée dance et loin d'être amère, à l'image d'un Johnny Delusional installé en tête de gondole d'un premier album (FFS, 08/06) longtemps jugé improbable mais s'avérant au final plutôt séduisant – pour peu que vous ayez l'oreille sensible à l'élégance du beau bizarre.

Marrant, on dirait mes copies de philo. Dès que je pompais 2-3 phrases dans un livre, ça se voyait sur ma dissertation. Vous l'aurez deviné, ces lignes ne sont pas de moi, mais elles résument terriblement bien ce que je voulais dire. Merci à son auteur donc. Ce qui me permet aussi de me rendre compte que le niveau littéraire de mon blog est finalement assez pauvre.

1er extrait de leur album. On aime ou on n'aime pas. Moi je trouve ça entrainant.

2nd extrait. Issu d'un live au Festival de Glastonbury

 

 

Florence

J'en ai déjà parlé il y a peu de ma copine Florence et ses machines mais j'ai entendu à la Fnac pas plus tard qu'hier un autre extrait de son dernier album qui m'a encore "mis les poils".

Je vous ai mis le clip mais pour mieux vous concentrer sur la voix (notamment la puissance à 3mn10 de la video), mettez votre casque, le son à fond, vous regarderez le clip plus tard. Enorme !!!