mardi 27 mars 2012

Course de lévriers (et pas levrette rien à voir ...)

Salut les petits amis.
Je sais ce que vous allez me dire, 2 points ouvrez les guillemés : "Putain on voit que tu n'as plus rien à foutre en ce moment !" Pas faux (Les propositions commerciales finito, le Mexique c'est bouclé, les travaux en cours, et la voiture à l'étude), encore que je vous rassure je vais bientôt bosser comme un iench (dog en verlan) à l'horizon fort lointain du mois d'avril (soit 3 jours de répit, j'en profite donc).
Je ne vous présente plus mes amis (ici encore je les connais plus qu'eux ne me connaissent mais bon entre DJ on est tous amis) les Mafieux (comme on dit dans le milieu -c'est le cas de le dire- de la night) ou encore la Swedish, je veux bien entendu parler de la Swedish House Mafia. Ils nous reviennent (le clip date de 2 semaines. Exclu lulu !) avec ce hit, certes, de bonne facture GreyHound, mais surtout illustré avec un clip futuriste terrific. Franchement à voir, sorry pour le placement produit Absolut Vodka vraiment abusé ...
A voir de toute urgence, je vous laisse juger sur pièce (comme on dit dans l'immobilier ou pas). Au fait pousser le son de l'ordi avant :

Les Citoyens ! Enfin un peu de calme !

Salut jeune lecteur fidèle.
Tu n'as pas été épargné ces derniers temps par mes groupes de punk à chien vus récemment en concert (et encore je ne vous ai pas parlé de mes amis de Wu Lyf vus début mars : 1 concert toutes les 2 semaines, ça dépote en ce moment. Le prochain, David G., bcp plus mainstream. Demander la définition à Babeth).
Aussi afin de vous prouver que ce blog est placé sous l'hégémonie de l'éclectisme (Demander la définition à Master), ou plus prosaiquement que je ne suis pas qu'un gros boeuf assoiffé de bière et de rock (mais pas que ... de sexe aussi), un titre léger et aérien entendu l'année dernière mais que je n'avais pas eu le temps de poster. Eux c'est qui ? Les Citizens! : je ne sais pas grand chose d'eux à part qu'ils ont signé sur mon label électro préféré (déjà cité 1000 fois dans ce blog) : Kitsuné et que d'autre part ils font la première partie de The Rapture (que je vais voir en concert fin avril - encore !- et dont j'ai parlé dans un post précédent : comme ça la boucle est bouclée, ou ça reste dans la famille, ou 50 qui font 100, ça ça n'a rien à voir, c'est juste pour parler).

Ci-dessous, le clip "True Romance", à l'atmosphère légèrement oppressante je vous le concède.


La même, dans une version plus funny, en Bollywood style.

vendredi 23 mars 2012

Live de la semaine : Skip The Use

Skip The Use, Bataclan, 22/03/2012 : Live de la semaine, je dirais plutôt live de l'année voire même plus !!!!!
Je ne vous présente plus mon coup de coeur du moment Skip The Use, groupe franco electro-rock-punk (voir post précédent à ce sujet). Ce combo du nord de la France jouit (et oui ça se dit, ce n'est pas sale) d'une bonne grosse réputation de groupe de scène. Et je peux dire qu'elle n'est pas usurpée. Rarement je n'ai assisté à une prestation d'une telle intensité, et sur la durée en plus (j'ai quasiment chopé les poils tout du long du concert - rien qu'en visionnant les vidéos sur YouTube, ça me le refait, je dois être un peu trop émotif). Une réelle débauche d'énergie de bout en bout, un (vrai) groupe qui prend un plaisir non feint à jouer live, un chanteur en véritable meneur de revue qui n'arrête pas une minute (vous le verrez torse nu sur la vidéo ci-dessous, comme je l'ai déjà écrit : la scène ça te sculpte un homme. Messieurs arrêtez de courir et mettez vous au chant !) et qui tient son public en haleine. Il a réussi la performance de faire asseoir toute la fosse du bataclan (soit 500 personnes) puis de nous faire progressivement nous relever au rythme crescendo de la musique avant de nous faire jumper (difficile à décrire, mais à vivre, juste énorme !). Pour votre information, en concert, quand je m'éclate, je suis debout bras croisés dodelinant de la tête tels les chiots sur la plage arrière d'une voiture (et là en général je suis au top). Hier soir, debout, sautillant dans la fosse, les mains en l'air (merci aux 2 l de bière qui aident bien aussi à se désinhiber) : un vrai ado rebelle de 1ère S à Saint Germain En Laye (sauf que j'étais en costard black, chemise noire - trempée de sueur - et cravate ton sur ton, j'aurais préféré un T-Shirt DanTonKu et des converses) !
Ils ont joué pendant plus d'1h30, ce qui est une vraie performance (avec un seul album au compteur et des morceaux dont la durée moyenne avoisine plutôt les 3mn), une petite reprise de Blur : Song 2 pour bien électriser la foule en age. Bref énormissime !
A recommander vivement (je dis ça parce qu'ils viennent de remettre une date sur Paris à l'Olympia en octobre et vu leur prestation d'hier, je vous parie mon slip sale qu'on va encore parler d'eux prochainement. A réserver de toute urgence donc !).

1ère vidéo (ne venant pas du live d'hier) mais avec une très bonne qualité audio / vidéo (vous permettant ainsi de vous familiariser avec cette tuerie de titre "People in the shadow"). Skip the intro (c'est le cas de le dire) et allez directement à 1mn14 de la vidéo, admirez la ceinture abdominale au passage de Mat Bastard (c'est le nom du chanteur, nom de scène j'espère), allez jusqu'au refrain (2mn42) et écoutez le public en délire, et petit teasing pousser jusqu'au 4mn52 (vous comprendrez les guitares à la Daft Punk ou Justice au choix)


La même hier, forcément qualité vidéo et audio dégradée, mais tellement "live" en mode caméra embarquée dans la fosse. I was just there.


Pour terminer mon illustration sonore, la chanson Song 2 de Blur, pour ceux qui n'étaient pas là dans les années 2000. Quand on voit le live par Blur (l'archétype des groupes pop), je vous laisse imaginer la même jouée par Skip The Use.

lundi 19 mars 2012

DJ or Project Manager ?

Pour répondre à la question posée ce week end par une certaine Céline A, qui a tenu à garder l'anonymat : "Ouais mais toi DJ tu fais ça pour te marrer, ça te ferait chier d'en faire ton métier ?", pas sur ...
Cf ci-dessous :


Surtout quand je vois mon pote hollandais HardWell (enfin quand je dis mon pote, je le connais plus que lui me connait), franchement par rapport à l'informatique, pas trop de question à se poser ... ah si le salaire !

jeudi 15 mars 2012

Los Deglingos

4 mn 31 de bonheur : tout y est, une musique chic et entrainante, des paniers de basket de ouf, un trible back flip -never seen before- en snowboard, un jump de malade en motoneige, des sauts en chute libre hallucinants !!! Certes, j'abuse des adjectifs qualificatifs mais franchement à visionner sans modération. Enfin bon c'est mon avis et je le partage. C'est un peu le principe de ce blog. Tu connais le proverbe "Ce blog tu l'aimes ou tu le quittes".

Enjoy ... ou pas

mardi 13 mars 2012

Live de la semaine : The Subways

Bon c'est sur c'est une grosse semaine, puisque le concert était en février. Mais bon comme je me plais à le rappeler, je ne suis ni DJ professionnel, ni journaliste musical mais j'ai un autre travail, certes largement moins passionnant, mais beaucoup plus alimentaire, métier qui m'a occupé plus qu'à temps plein ces derniers temps.

Donc voilà concert of the week : The Subways.
J'ai la prétention de penser être un (vrai) fan de ce groupe de rock anglais puisque sur les 4 concerts qu'ils ont donné à Paris depuis leur création, je me rends compte que j'en ai fait 3, ce qui est un score plus qu'honorable.
Raison de mon addiction : Groupe de rock, comme je les aime, 3 instruments (1 batteur, 1 chanteur guitariste complètement barré - voir ultérieurement - ce qui n'est pas fait pour me déplaire, 1 bassiste qui ressemble très fortement à une Noiséenne (sorry pour la private joke) mais surtout à Barbie sous ecstasy ce qui n'est pas fait pour me déplaire non plus). Musicalement pas de mélodies ni de paroles ultra recherchées, pas de blabla des résultats, c'est binaire, ça envoie du bois "et pis c'est tout" comme dirait l'autre, mais c'est déjà pas mal. Et sur scène ils déchirent tout. Pour preuve, notre ami, Peter à la jolie chevelure bleue EDF (je vais peut être me laisser tenter), qui sur leur dernier morceau quitte la scène alors que ses acolytes continuent de jouer pour venir se percher sur le balcon de l'Alhambra (pour ceux qui ne connaissent pas cette salle, c'est comme l'Olympia ou la Cigale) avant de slamer dans la fosse en contrebas (où j'étais, ne cherchez pas sur la vidéo, j'ai déjà regardé 20 fois, on ne me voit pas et pourtant j'y étais).

Vidéo hallucinante d'un slam hallucinant (le début de la vidéo, c'était à la Maroquinerie, où il a "juste" sauté des enceintes, la suite de la vidéo no comment ...)


La même, vue du balcon, plus un petit extrait de l'ambiance atomique !

lundi 12 mars 2012

Passez à la pratique

Sous ce titre énigmatique se cache la traduction littérale (merci Google Translation) du group of the moment, j'ai nommé Skip The Use. Pour ceux qui ne connaissent pas (ce qui était mon cas il y a de ça quelques semaines), c'est un groupe français comme son nom l'indique, voire même ch'ti ce qui à la première écoute de l'album est assez unbelievable. Pour qualifier leur style, je dirais (et ça tombe bien car ils -le groupe- le disent aussi), c'est un groupe de rock fusion-electro-funk-pop. Ola, jeune lecteur prépubère tel un jeune chiot fougueux (rien à voir avec la puberté c'est juste pour parler), moi aussi, lors de la lecture de certaines critiques musicales, quand je vois écrit que leur influence est à la confluence d'expérimentations diverses et variées allant du métal fusion au funk, je me dis toujours que le journaliste se fout clairement de ma gueule tant pour moi ces styles musicaux sont aux antipodes. Et pourtant force est de reconnaitre que nos amis nous ont concocté un album (voire devrais-je dire une usine à tubes) qui sonnent funk (on croit reconnaitre un sample de Ring My Bell), electro (certains solos de guitare sonnent comme du Daft Punk), voire carrément trash. Si j'osais une comparaison un Bloc Party à la française (bien que plus riche à mon sens). La similitude ne s'arrête pas là puisque le chanteur est black aussi (comme notre ami Kele Okereke, au scrabble il déchire tout, dommage qu'il n'y ait pas droit au nom propre). Ci-dessous un des extraits de leur album sorti le mois dernier : Qui a dit que le rock n'était pas dansant ?

 
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