dimanche 29 novembre 2009

In the Baaaank !!!!!!!!

Depuis que ma fille est championne de France des Yvelines en Basket, je commence à m'y intéresser.
Cf cette bonne vidéo de guedin que j'ai déniché (aussi conne que celle
sur les lanceurs de canettes de Coca), ... donc j'adore tout autant ...)



Celle là aussi est pas mal, surtout quand on voit d'où il shoote :

samedi 28 novembre 2009

Les amis de mes amis sont mes amis

Quand un des meilleurs DJ de transe hardcore hollandais du moment, j'ai nommé DJ Tiesto, remixe le meilleur groupe anglais de "cold-wave" The Editors, ça donne cette dernière tuerie électro rock (ou comment passer le semi-marathon sous la barre des 1h30): Papillon (en référence à Papillon, le livre sur le bagne en Guyane Française. Rien à voir avec le fameux "Papillon de Lumière" de notre star internationale Cindy Sander).



Pour ceux qui veulent encore, 2 bonus supplémentaires :
* Le premier single de The Editors en 2006 : "Munich"




* Le fameux single "Adagio for strings" de DJ Tiesto, qui en dépit d'un titre qui dessert le morceau, n'en est pas moins une pure pépite de transe music. Gros succès auprès de la ménagère de moins de 50 ans pour ses séances de step au Club Med Gym. A essayer aussi à la maison, bourré, avec une chaise, ça marche aussi.

samedi 21 novembre 2009

Concert Moby du 13/11/09

Veuillez trouver ci-joint le CR du concert de Moby du 13/11/09.

Arrivé au Zénith avec quelques appréhensions (normal pour un vendredi 13), non point que je n'aime pas Moby (sinon on ne va pas à son concert, est ce que je prends des places pour Johnny ? non bon alors), mais c'est vrai que le dernier album sorti cet été était plutôt smooth, dans le plus pur style ambient electro à la Moby. J'aime bien aussi mais j'imaginais mal le rendu en concert.
Pour le coup, je (voire nous puisque j'y étais avec ma cop's de concert, the famous Sofy), n'avons pas été déçus. Légèrement désarçonnés de prime abord par des travées vides (même pas la queue au bar, jamais vu ça) à 20h, pour la bonne et simple raison que le public, WASP Catégorie Socio Professionnel ++, était bien sagement assis dans les gradins, à attendre le début du concert qui a démarré à peine 15 minutes plus tard. Sympa le concert pour le troisième age ...
Après une intro planante au violon, qui nous immédiatement et simultanément mis la chair de poulet, nous avons eu droit à un vrai best of de Moby. Et pour le coup, il en a des tubes au compteur le bougre. Se sont ainsi succédés les hits mélancoliquement envoutants ("Why does my heart feel so bad?", "Natural Blues") interprétés par une choriste à la voix de Sinead O'Connor et à la performance incroyable sur fond de violons tristes à souhait, et des morceaux plus (voire beaucoup) plus rythmés. Cf les titres "Bodyrock" ou "Lift me up" qui suivent (Tirés du DVD live de la tournée précédente mais fidèles au concert et avec au moins une bonne qualité de son et d'image) :





Tout ça avec un son fort mais clair et des jeux de lumière de toute beauté. Un moby, tout gentil limite con con avec ses "Merci beaucoup, Merci beaucoup, Merci beaucoup" à l'issue de chaque morceau, qui n'hésite pas à balancer ("Georges Bush est rentré au Texas et regarde du Porno sur Internet"), un vrai rebelle ce Moby, à l'image de son public (cf le quadra cadre supérieur qui tire un billet de 50€ de son portefeuille Paul Smith pour s'acheter 2 coupettes de champ ! Je croyais qu'on buvait que de la bière au Zénith ?!). Un show bien rodé, 2 h réglementaire, à l'américaine (1h30 + 30 mn de rappel), qu'il a fini sur un son bien techno, à te faire trember le Zénith. Un public debout en transe, un bon son qui cogne, des strombos plein la tête, une salle transformée en rave géante en Belgique ...
Pour illuster, the famous hit "Disco Lies" et son refrain mondialement connu "Oh les militaires" (dixit mon fils), extraite d'une vidéo de cette tournée 2009, réalisée au téléphone portable. C'est filmé de loin, et le son est saturé mais ça rend parfaitement le rendu de la débauche de son et de lumière du concert. La scène, on dirait le stade Olympique de Pékin lors de l'inauguration des J.O.



Voilà, top. Super cadeau d'anniversaire, Merci Sister.

lundi 26 octobre 2009

Concert Placebo 25/10/09

Veuillez trouver ci-joint le Compte Rendu du concert de Placebo du 25/10/09.

Chauffé à blanc par Expatriate, groupe de rock nerveux expatrié d'Australie, une première partie pas si pire, mais aussi et surtout par 1,5 l de bière bon marché (Merci Eric et Claude), nos amis de Placebo étaient attendus de pied ferme. Ils n'ont pas déçu. Ils arrivent sur scène dès 20h15 (à croire qu'ils avaient oublié le changement d'heure de ce WE), tambour battant au sens propre comme au sens figuré avec l'enchainement coup sur coup des 2 singles de leur dernier album, mettant d'emblée tout le monde d'accord. Le public rentre dans l'ambiance de suite : un son d'enfer (mon oreille gauche s'en rappelle encore) du genre qui te fait trembler les organes internes, un show lumière des plus aboutis, sur une scène à l'esthétique travaillée, tout en profondeur, à dominante blanche comme les murs d'amplis Marshall ou les instrus (batterie, clavier), le tout emmené par une voix aussi androgyne que le physique de son chanteur Brian Molko et un Stefan à la mèche toujours aussi bien peignée (portant une jolie veste cintrée lamée des plus peds). Bref un "classique" concert de Placebo, pas tout à fait toutefois, avec quelques différences notables :
* les musiciens additionnels (1 guitariste, 1 clavier, et une choriste violoniste, véritable clone d'une chanteuse d'ABBA) ne jouent plus dans l'ombre (dans les 2 sens) et viennent même saluer tous ensemble à l'issue de la prestation
* la différence de taille réside surtout dans le changement de batteur. Un Steve chasse l'autre : Exit Hewitt, Welcome Forrest, dernier toy boy de Brian, blondinet élevé aux farines animales, dont :
1- la mère a du boire du red bull jusqu'au 7ème mois de grossesse
2- les scénaristes de Prison Break se sont inspirés pour le personnage de Michael Scofield le tatoué
En effet, je ne sais pas si c'est parce qu'il est encore en période d'essai (ancien transfuge du groupe Evaline ayant fait leur première partie sur la tournée américaine de 2006), mais alors il envoie du bois ... Un vrai bucheron ...
Résultat : un set énergique (le mot est faible), ultra rythmé, où les singles (principalement issus du dernier album) s'enchainent à une cadence d'enfer (tout comme les changements de guitare quasi systématique entre chaque morceau), à peine ponctués par quelques phrases de notre ami Brian, qui parle pourtant mieux français que moi. 1h15 plus tard, c'est bouclé. A peine remis de cette grosse claque, ils reviennent pour 2 rappels de 15 minutes chacun avec un final "Taste In Men" et des larsens qui laissent le public comblé ... et sourd aussi.

Ci-joint des images de cette tournée, filmées cet été aux Pays Bas. Débauche d'énergie similaire au concert de dimanche ...

On commence par un extrait du dernier album : The Never-Ending Why, "une chanson bouddhiste ..." (dixit Brian, je vous laisse apprécier sa définition de la zen attitude)


Un second single du dernier album : Ashtray Heart


Enfin, pour les fans de la première heure comme moi, the famous Every You, Every Me

samedi 17 octobre 2009

Concert Pixies 15/10/09

Veuillez trouver ci-joint le Compte Rendu du concert des Pixies du 15/10/09.
Avant tout, pour replacer dans son contexte, pour ceux que ça intéresse et ceux qui s'en foutent aussi, les Pixies restent à ce jour mon groupe de rock préféré. Les rois du bruit mélodieux, groupe aussi prolixe qu'éphémère (4 albums en 4 ans de 1987 à 1991, et pis c'est tout), autodétruit au faîte de sa gloire, et qui influencera bons nombres de groupes à venir (Nirvana en tête, qui sort son "Smell like teen spirit" à peine un an après leur "disparition").

Après une intro calamiteuse composée de singles improbables tirés de je-ne-sais-quel-album (et j'ai pourtant la vanité de penser que je connais relativement bien mon sujet), laissant le public "aussi froid qu'un surgelé Picard", et surtout me faisant appréhender le revival du cauchemar d'un concert des mêmes Pixies auquel j'assistais quelques années auparavant avec une play list désastreuse jouée devant 4 néons de salle de bains, le 5ème titre sonne la délivrance. Sur l'écran géant,(dont le groupe vient de faire l'acquisition et ça "c'est peut être un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup", on n'est pas au show de U2 au Stade de France, mais on a droit toutefois à de belles images léchées à l'esthétique particulière des Pixies - dont "Le chien andalou" de Bunuel - qui viennent joliment illustrer les morceaux joués live), bref sur cet écran donc, s'affiche en lettres majuscules le mot "DOOLITTLE", titre d'un de leurs albums, sonnant le départ d'une véritable avalanche de tubes, dont le fameux Debaser (my favourite song)



Les autres singles viendront se succèder à un rythme tout aussi infernal, seulement entrecoupés épisodiquement par quelques "Meursi beaucu" annonés par une Kim Deal qui vient visiblement d'acheter la méthode "Le Français pour Les Nuls", rythme infernal qui laissera groggy debout le public. 1 heure après et quelques 20 titres plus tard d'une playlist aux allures de Best Of (Gigantic, Bone Machine, Wave of Mutilation, Gouge Away, Monkey Gone to Heaven), ils s'en vont (déjà ?!) devant un parterre de fans rassasiés après cette bonne dose de rock, de guitares saturées, portée par la voix inimitable (à la limite de l'aboiement sur certains titres) de Frank Black. Heureusement, juste un petit break, pour profiter de 30 mn de dessert de rappel supplémentaire (dont le fameux "Into The White" au sens propre comme au figuré, entonné par une Kim Deal, littéralement noyée par les fumigènes blancs déclenchés sur la scène), et alors que le public n'a plus faim depuis longtemps, une dernière gourmandise pour finir avec le fameux "Where is my mind ?" qui nécessitait inéluctablement une liaison en duplex téléphonique avec Sophy. Voilà, 1h30 plus tard, on sort comblé, ravi avec les oreilles qui bourdonnent, en comprenant pourquoi les Pixies constituent une figure emblématique et incontournable dans l'histoire du rock.

samedi 26 septembre 2009

Fou à lier

Si toi aussi, tu as une passion dévorante pour le surf mais que malheureusement tu habites sur le Lac Léman, alors contactes 2 ou 3 vieux potes tchétchènes qui peuvent toujours te dépanner d'1 ou 2 batons de dynamite (surtout si t'es en galère).
Et voilà, un briquet et en avant guingamp ...



PS : Spéciale dédicace à Master, qui m'a montré cette charmante petite vidéo le prem's.


Dans la série, j'ai mal à mon cerveau mais je me soigne ...
Et toi, le jeune cadre dynamique, qui travaille comme un forcené sur le site de la Défense, et qui à l'approche de la trent..quarantaine voit ton petit bidon s'arrondir sans que rien tu n'y puisses faire, la séance suivante est pour toi, où comment allier convivialité de la machine à café et pratique sportive intensive ...
Attention ça fout les jetons (comme dirait l'autre) ...



(Accédes directement à la 2ème mn du film, et manges tes doigts ...)

mardi 21 juillet 2009

Mon dieu qu'il m'énerve ce David

C'est vrai qu'il est énervant ce David G. Il ressemble à rien (ça n'a jamais été aussi vrai dans le clip suivant avec ses cheveux fillasse limite charclo), il a un QI proche de ma température anale, il fait des pubs pour le gel Studio Line (c'est dire ...) et a une femme vulgaire à mort (à côté Eve Angeli fait distinguée) mais comme chaque été, il nous revient avec un tube taillé pour le DanceFloor, il faut bien le reconnaitre. Non content d'avoir fait fort cet été avec son fracassant single "When loves takes over" avec en featuring Kelly Rowland, qui n'est autre qu'une des 3 Destiny Child (pour info, une des 3 autres c'est juste Beyonce),



il est encore à l'origine de cette tuerie des Black Eyed Peas "I Gotta Feeling", en tant que producteur cette fois-ci et un son reconnaissable entre 1000 (cf l'intro guitare en boucle qui rappelle furieusement les premières notes de "Love don't let me go"). Je sais c'est commercial mais cela n'en reste pas moins une des bonnes tueries dance de cet été :

The loop is looped

Dans la famille "La boucle est bouclée", je voudrais Fortune. Bonne pioche. Eh ben oui, parce que devines kicékecété en première partie des NNBS que je ne prends plus la peine de présenter (1 ça fait plusieurs articles que j'en parle, et 2 maintenant ce sont de vraies resta puisque un de leurs singles sert d'intro à la pub du dernier téléphone Nokia), Fortune pardi, dont j'avais acheté le single "Bully" sur ITunes (et oui il y a encore qui achètent leur MP3 à 1 € pièce).
Malgré un clip plutôt brouillon qui dessert un peu la chanson, une bonne petite prod bien de chez nous (ne vous fiez pas à la langue de Shakespeare) qui n'est pas sans rappeler The Whip, la batteuse en moins. Je vous laisse juger.

dimanche 12 juillet 2009

Rue Montorgueil, c'est auch !

Dernier gros buzz du moment, les Make The Girl Dance et leur "Baby Baby Baby" :
* Les paroles sont moins funnys que celles du famous "ça m'énerve" d'Helmut Fritz (A ce propos, il y a désormais l'équivalent féminin, c'est "ça m'excite" par Ursula Bretzel, véridique mais pâle copie)
* Musicalement, ça se veut électro rock, mais ça vaut pas Justice

Par contre, le côté happening est pas mal (surtout les regards hallucinés des passants ...). Je vais peut être me ballader plus souvent du côté Montorgueil moi ...

jeudi 9 juillet 2009

Coming Next : La Roux

Si toi aussi, cet été,
Autour d'un bon verre de rosé,
et d'une belle cote de boeuf grillée,
tu veux assurer
comme une teubê
et passer pour un keumé
ou une nana super branché
alors de "La Roux" (et non Delarue, rien à voir), il faudra parler ...

Après il sera trop tard,
et tu passeras pour un ringard

La Roux, cékoidon ? La Roux, comme ses cheveux l'indique (à la coiffure savamment étudiée, elle doit se lever 2h avant d'aller bosser, on dirait Desireless qui a trop dormi sur son côté droit), brillantissime chanteuse électropop, carrément stuck in the sound of the 80's (comme Desireless ma foi) avec utilisation abusive de synthés tout droit piqués à Yazoo ou OMD, inconnue du grand (voire du petit) public jusqu'en fin d'année dernière. En 3 hits, propulsée "à l'anglaise" comme nouveau meilleur talent de la décennie (en tout cas au moins jusqu'à la semaine prochaine). Le dernier en date "Bulletproof" (et quand je dis en date, c'est sorti il y a moins de 2 semaines, c'est vraiment total Exclu Lulu) qui, je vous parie mon slip sale, fera parler de lui incessamment sous peu.
A suivre de très près donc. Label : BenCoq approved.

Clip dont l'esthétique n'est pas sans rappeler le générique du Grand Journal de Canal. Quand je dis qu'elle est restée bloquée dans les années 80 ... Faudra juste qu'elle mette en prison son styliste et qu'elle arrête de se maquiller dans le noir ...


mercredi 8 juillet 2009

Bilan mi 2009

Ci après mes coups de coeur du moment (enfin du moment, on va plutôt dire sur ce début d'année 2009 mais, comme déjà indiqué, j'ai un vrai métier maintenant d'où des mises à jour plus que spasmodiques, ça pète comme mot, par contre je ne sais pas si c'est que je veux dire, enfin bref vous m'avez compris).

YUKSEK
Pour bien démarrer 2009, le nouveau pape de l'électro français, j'ai nommé Yuksek (ça fait plus polonais, je vous l'accorde), issu de la droite lignée de la "French Touch" qui s'exporte mieux à l'international que notre roquefort moisi (surtout chez nos amis anglos-saxons), à l'instar des Cassius, Etienne de Crecy, Daft Punk pour les plus anciens jusqu'aux récents Justice.
2009 est son année : il est partout, sortie d'un album d'où sont extraits les 2 tueries suivantes, il produit le dernier album des non moins buzzés Birdy Nam Nam, et enfin à ses heures perdues il remixe "Bang Bang" des Naive New Beaters (dont je vous ai déjà parlé). C'est vraiment une petite famille ce monde électro hexagonal.

Dans la série "La boucle est bouclée", en featuring de ce hit, on retrouve Amanda Blank que j'ai vu pas plus tard qu'hier, à l'Elysée Montmartre, en première partie du concert de Santogold (dont je vous ai aussi déjà parlé); Une petite famille, je vous dis.

A la question "Yuksek, c'est quoi ?", je repomperais textuellement cette définition, trouvée sur la toile, en guise de réponse : "un soupçon de mobilité pop, des beats groovy, des rythmes énervés un brin breakés, des sons acid qui confinent à une folie psyché-rock-transe, puis toujours la mélodie qui se tisse à travers chaque track sans fragiliser l'efficacité dancefloor du tout". Enfin moi, j'ai plutôt une formule idiomatique toute faite pour résumer : "VAS Y, METS LES WATTS"


Ci dessous une autre tuerie "Tonight", qui permet de transformer ta vulgaire caisse en disco mobile (t'as limite envie de te mettre au tuning pour mettre un caisson de basse sur la plage arrière). En tout cas, si tu dodelines de la tête tel un chiot à l'arrière de la voiture, c'est normal, c'est voulu. Admirez, au passage, les bioutifoul paroles splendides de ce clip très "Raélien" (ah la magie de l'anglais ...)


YEAH YEAH YEAH
Les Ouais Ouais Ouais, en français dans le texte, assurément mon coup de coeur rock indé de ce premier semestre 2009. Groupe new yorkais, issu du Brooklyn fashion et hype à souhait (like Santogold, la famille je vous dis), découvert à l'issue de la sortie cette année de leur dernier album dont est extrait le beautiful "Heads will roll". C'est rock, avec de la bonne batterie comme on aime, des riffs de guitare heavy, portés par une voix torride de la chanteuse déjantée et charismatique Karen O, qui n'est pas sans rappeler celle de notre bonne vieille Siouxie.



Pour info, ce groupe existe depuis bientôt 10 ans et collectionne une belle brochette de hits "Maps", "Zero" mais aussi le suivant "Y Control" et un des clips des plus barrés jamais vus voire malsains, dans sa version non censurée (le doigt d'honneur fait par la filette de 5 ans n'est pas flouté, et oui ça donne le ton). Ah le milieu indie new-yorkais toujours à se faire remarkais ...


SEXY SUSHI
Enfin, dans la série "ça n'a rien à voir, mais j'adore quand même et j'ai l'impression que je suis seul dans ce cas", ma toute dernière découverte du printemps : Les Sexy Sushi qui sont français comme le nom l'indique. Musicalement, ils sont sur une niche que je définirais de punk électro porno lesbien. C'est clair, c'est assez ciblé et ma foi, c'est normal que je sois fan, aimant bien le punk, l'électro et le porno et j'ai rien contre les lesbiennes. Duo composé d'un mec au clavier, et d'une fille Auchan (à l'instar des fameux "Miss Kittin and the Hacker", tout aussi français ou du duo belge "Vive la fête" dont je parlerais une prochaine fois), complétement déjanté, avec une sonorité electro voire tecno, mais surtout :
* marrant parfois (cf le titre plein d'autodérision "Rien à foutre" qui, contrairement à ce que laisse présager son titre n'est pas vulgaire, profitez-en, c'est rare pour du sexy suhsi et très drôle),
* provoc souvent ("Laisses moi t'embrasser petit PD ou encore sur notre ministre préférée : Rachida)
* et sex tout le temps (logique pour un groupe sexy sushi. Ci-joint un clip à déconseiller aux moins de 18 ans et aux filles hétéros, les autres vous allez vous régaler)


Pour donner sa chance au produit, un clip sage d'une chanson sage, qui n'est pas trop représentative de leur discographie complète, gentiment électro avec une intro à la "Blue Monday" de New Order.



PS : Je ne saurais trop vous conseiller d'écouter sur leur site
MySpace le tube interplanétaire "Y a trop de naz en discothèque" ou le néanmoins fameux "Enfant de putain, salope ta mère", sincèrement très entrainant.

jeudi 2 avril 2009

Ma pineco est plus bonne que la tienne

Voir article précédent : même motif, même punition, ou alors c'est la mode.
Là encore, ils sont frenchies, ils font 2 accords et demi sur leur Bontempi, ils connaissent 3 mots en anglais qu'ils prononcent aussi bien que moi, le tout emballé dans un petit clip sympathiquement sexy. Et voilà, clic, clac, l'affaire est dans le sac (merci Kodak), une petite chanson entrainante (voire entêtante) pour bien débuter le printemps ...

lundi 30 mars 2009

Mieux que Prince (le nain de Minneapolis, pas le héros du gouter)

Si toi aussi :
* tu ne connais que 3 accords et demi en musique,
* tu as eu un clavier PlaySkool pour Noel,
* tu es français et tu as fait Anglais LV2 et tu as 500 mots de vocabulaire à ton actif,
* et enfin tu penses que tu fais mieux l'amour que Prince (attention, je rappelle pour mémoire que Prince est un nain, et vous savez tous ce qu'on dit des nains, qu'ils ont ... enfin bref moi je dis ça, je dis rien)
alors toi aussi, deviens la star du web avec ce tube électro pop au groove spatial, ma foi bien entrainant.
PS : Si tu comptes parmi tes amis les rois du film d'animation Jonas & François (qui à leurs heures perdues font des clips pour leurs autres amis que sont Justice ou Madonna), disons que c'est "un plus". Disons que ça t'enrobe bien le tout.




For more information, http://www.myspace.com/mightyflairs

vendredi 30 janvier 2009

Ma putafrange du mois : Ocean Drive

Si vous avez aimé Discobitch (littéralement Pute électro en français dans le texte) avec sa petite bourgeoisie qui boit du champagne, alors vous adorerez Ocean Drive et son 'Some People'.
Spéciale Putafrange, short en jean, chaussures à talon (la grosse classe) magnifiée dans un clip tiré d'un épisode de 'Miami vice', chanteuse à texte s'il en est (dans la grande tradition de la chanson française).
Morceaux choisis : "Je garde ton odeur sur moi pendant des heures".



BenCoq : Quelques grammes de snobisme dans un monde de beauf (et vice versa)ou quand JoyFormidable cotoie sans complexe Ocean Drive.

samedi 24 janvier 2009

La Formidable Joie

Une autre découverte : The JoyFormidable.
Classiquement, ils sont 3 : Guitare, Basse, Batterie
Classiquement, c'est la fille à la basse, et elle est plutôt mignonette
Classiquement, c'est aussi elle qui chante
Classiquement, ils nous viennent d'Angleterre
Classiquement, ça sonne bien. Ce n'est pas sans rappeler de la musique de groupes de filles avec des guitares, The Breeders ou encore Veruca Salt, pour ne citer qu'eux et c'est aussi sans doute pourquoi j'aime bien.

Austere (official video à l'atmosphère bien barrée)


La même dans sa version censurée sur You Tube ... je ne vois pas pourquoi ...

Enfin, pour ceux qui aiment, en écoute sur leur site MySpace, une très belle chanson : The Greatest Light is the Greatest Shade

samedi 17 janvier 2009

NNBS ça déchire

Mon coup de coeur du moment, les Naive New Beaters (que je ne me risquerai pas à traduire) ou NNBS pour les intimes, groupe au nom assez improbable il faut bien l'admettre (encore qu'il existe bien "les fils de Teuhpu", ou encore "les vielles salopes").
Je les ai entendu la première fois en première partie du concert de The Kills en novembre 2008, et j'ai trouvé ça résolument bien (pour une fois qu'il y a une première partie qui déchire, ça fait zizir comme dirait Diam's).
NNBS, c'est quoi :
* un chanteur charismatique, avec la coupe de cheveux de Tao dans les cités d'or, vous savez le copain d'Esteban, les pulls en laine de ma grand mère, qui a appris à danser avec Mya Frie
* une musique rap électro funk difficilement étiquettable
* des noms de scène encore plus improbables que le nom du groupe (Martin Luther BB King, le guitariste, Eurobelix le roi de la boite à rythmes et David Boring le chanteur)
* un sens de l'humour certain (cf vidéo de leur interview ) et de l'autodérision assurément (cf les combinaisons fluos, on dirait des allemands dans les années 80)
* une présence scénique indéniable
* ils sont français like you and me
* c'est de l'énergie nucléaire en barre : ça bouge bien, c'est doux, c'est neuf, clairement c'est original, ça ne sonne pas comme toutes les prods du moment, pour le coup on peut vraiment dire qu'ils ont un univers qui leur est propre et comme en plus ils ne se prennent pas la tête, ça ne gache rien.
Conclusion : ma recommandation pour bien commencer cet hiver glacial. NNBS avec des morceaux de chaleur à l'intérieur.

Bang Bang (et pas Gang Bang rien à voir)



Live Good


For more information,
http://www.naivenewbeaters.com

vendredi 16 janvier 2009

Truc de OUF

Deux petites vidéos de malade mental avec deux riders qui ont un pet au casque (ou qu'on a bercé trop près du mur voire les deux).
Dans les 2 cas, c'est du ski (et oui I know ski sucks) mais là pour le coup :
le premier il fait du ski à London City (et pas n'importe où, clairement ça vaut le détour)

Le second, il nous fait un saut de barre du genre oublies que t'as aucune chance et fonces (Un gros truc de guedin)

 
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