lundi 12 mars 2012

Passez à la pratique

Sous ce titre énigmatique se cache la traduction littérale (merci Google Translation) du group of the moment, j'ai nommé Skip The Use. Pour ceux qui ne connaissent pas (ce qui était mon cas il y a de ça quelques semaines), c'est un groupe français comme son nom l'indique, voire même ch'ti ce qui à la première écoute de l'album est assez unbelievable. Pour qualifier leur style, je dirais (et ça tombe bien car ils -le groupe- le disent aussi), c'est un groupe de rock fusion-electro-funk-pop. Ola, jeune lecteur prépubère tel un jeune chiot fougueux (rien à voir avec la puberté c'est juste pour parler), moi aussi, lors de la lecture de certaines critiques musicales, quand je vois écrit que leur influence est à la confluence d'expérimentations diverses et variées allant du métal fusion au funk, je me dis toujours que le journaliste se fout clairement de ma gueule tant pour moi ces styles musicaux sont aux antipodes. Et pourtant force est de reconnaitre que nos amis nous ont concocté un album (voire devrais-je dire une usine à tubes) qui sonnent funk (on croit reconnaitre un sample de Ring My Bell), electro (certains solos de guitare sonnent comme du Daft Punk), voire carrément trash. Si j'osais une comparaison un Bloc Party à la française (bien que plus riche à mon sens). La similitude ne s'arrête pas là puisque le chanteur est black aussi (comme notre ami Kele Okereke, au scrabble il déchire tout, dommage qu'il n'y ait pas droit au nom propre). Ci-dessous un des extraits de leur album sorti le mois dernier : Qui a dit que le rock n'était pas dansant ?

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