dimanche 8 avril 2018

French Touch

SUZANNE : Une Stromae au féminin avec la coupe de veuch de Tokyo de la Casa De Papel mais en rousse
   

LOMEPAL : Le meilleur skateur des rappeurs français ou le meilleur rappeur des skateurs français
   

HOSHI : Une voix rauque comme on aime (enfin moi surtout)

THERAPIE TAXI : Pas obligé d'écrire un commentaire à chaque fois, non ? 

ORELSAN : Défaite de famille. Tout est dans le titre. Enorme clip dans lequel il joue tous les membres de sa famille. Trop fort et tellement vrai 
  

samedi 11 novembre 2017

Smells like ...

J'ai déjà du écrire dans ce blog (du moins je le crois) qu'on reconnait la puissance d'une chanson (dans ce cas appelée tube) proportionnellement à son nombre de reprises. 
Ce hit planétaire culte de Nirvana ne fait pas exception à la règle. 
Ci-dessous une version librement et diablement adaptée par Shaka Ponk. A écouter (voire réécouter) d'urgence. Chair de poule garantie.


La seconde, plus proche musicalement de la version originale, à l'exception près d'être jouée par un groupe de 1000 personnes (chanteurs, guitaristes, batteurs) dans un stade. Là aussi frissons garantis.

 

jeudi 19 octobre 2017

Quand les femmes s'emmêlent

Vrai coup de coeur pour la première artiste : K Flay, découverte par hasard au gré de mes pérégrinations youtubesques. Je ne sais rien d'elle et peu importe, j'adore sa voix, ce son, à mi chemin entre Santogold et Las Aves. 

La seconde Alice Wolf où, quand l'énergie thermonucléaire de Kim Deal, at the golden age of the Pixies, rencontre le charme de Scarlett Johansson (ce qui ne gache rien, cela va sans dire) et son charmant titre à la contrepétrie énigmatique "Yuk Foo". Vous avez deviné ? Si vous aimez, je vais la voir vendredi prochain à la Maroquinerie. Qui m'aime me suive.

Dernière trouvaille : Excellent titre pop acidulé, autant que le clip, de Paramore. Impossible de ne pas danser à son écoute. Si tu es né dans les années 70 et donc une dizaine d'années dans les années 80, c'est un plus. 

 Bonus track :

jeudi 1 juin 2017

Mat The Fucking Bastard

Le Mardi
C'est permis
Le Mardi
C'est Maroquinerie !

Et oui lecteur aussi assidu que perspicace, tu l'as compris, hier j'ai vu mon meilleur ami Mat Bastard (avec Izia et David Boring des NNBS), à qui il faut vraiment que je conseille de changer de nom de scène, à la Maroquinerie, salle qui comme déjà dit 1000 fois est aussi grande que mon salon (sauf que maintenant ce n'est plus tout à fait vrai).
Bref Mat Bastard, le renoi le mieux goalé de la scène rock français, et accessoirement chanteur aussi déjanté que déglinguo à la voix de guedin (j'y étais avec ma spécialiste chant : my daughter, que vous pouvez retrouver dans le message juste après, qui était absolument bluffée par ses prouesses vocales : il crie en chantant ou il chante en criant au choix, truc de ouf) du groupe Skip The Use, qui nous revient en solo.
On le pensait assagi avec l'âge (j'ai vérifié il va sur ses 37 ans tout de même, alors que tu as l'impression qu'il en a 29), il a trouvé l'amour (la chanteuse aux cheveux rouges, very, very, very pretty du groupe A-Vox avec qui il interprète "More than friends" sur scène et vu comment il la kisse après le çomor (le correcteur orthographique parle même pas verlan, il me souligne çomor en rouge je te jure, il sert à rien lui !)je pense que la réponse est dans le titre), il n'en est absolument rien. Il nous revient en solo certes, mais avec son premier groupe de ses débuts Carving, qui était plus punk que rock.
Ce mardi, dans la cave de la Maroquinerie, par une chaleur estivale proche de ma température anale, dans une ambiance surchauffée à blanc où tu peux quasiment toucher le groupe tant la scène est proche ou la salle est petite ou les 2, devant un public de conquis je t'adore, un Mat Bastard requinqué à la Vitamine C (comme Coke) qui nous a offert une débauche d'énergie positive, de good vibes, de frissons sur la peau, qui nous a fait danser comme un seul homme, chanter, gueuler, rire et hurler. YOU FEEL SO ALIVE !!!
Première vidéo pour illustrer le côté funky (Funny et punk qui ne sont donc pas incompatibles). La preuve par l'image



La seconde vidéo, le final du concert où pour reprendre du Mat Bastard dans le texte "Est ce que ça vous dit de finir le concert comme des connards ?", avec la fameuse "That's The Bastard Song" (what else ?) avec envahissement de la scène par un public en furie, transpirant mais heureux dont moi (On ne me voit pas, je suis derrière le guitariste à droite, et pourtant j'y étais, en pantalon de costard certes mais j'y étais, comme quoi tu peux avoir 45 ans tant que tu en as 25 dans la tête). Un finish avec un message qui ne plaira pas à Nicolas Dupont LeGland mais ça tombe bien car personne n'a envie de lui plaire.
Concert mémorable où tu repars éreinté, puant, sourd, sans voix, les cheveux collés, une furieuse envie de pisser mais avec un putain de smile sur ta happy face, de fontaine à énergie positive au max et avec (Cherry on the cake) la putain de baguette du batteur (et oui plus facile quand tu es à côté de lui sur scène pour lui demander. Malynx le lynx) !!! Ceux qui viendront visiter mes toilettes pourront admirer cette relique.


dimanche 23 avril 2017

dimanche 2 avril 2017

Olympia au cube

Cube comme puissance 3 ou comme les 3 concerts enchaînés sur 3 soirées d'affilée les 22, 23 et 24 mars derniers, les 3 fois à l'Olympia. Amazing ! Le vendredi Pogo et Malo, les 2 videurs de la salle m'appelaient par mon prénom.
Au programme :

  1. Mercredi : Mes chouchous NNBS pour le presqu'acronyme de Naive New BeaterS, déjà vu moultes fois mais fan inconditionnel,
  2. Jeudi : Vitalic, le Monsieur Propre français de la techno qui fait saigner les oreilles
  3. Vendredi : Georgio, le rappeur pas tebê, suffisamment rare pour le signaler


Mercredi : NNBS
Fidèle à eux mêmes, toujours aussi punchy sur scène, le chanteur charismatique David Boring, mi Esteban des Cités d'Or mi Jackson Richardson pour les anciens fans de hand ball français, toujours aussi débile (50% funky, 50% funny) et une Izia en guest toujours aussi incredible, avec une voix à te coller les poils sur tout le corps, qui danse mieux sur scène avec tes bottes à talons de 12 cm que toi dans ton salon avec des tongues, et qui pour l'occasion avait dégainé la tenue de scène ultimate que pour un entretien d'embauche tu repars avec un CDI. Cela n'a pas échappé à l'oeil avisé de notre David Boring préféré qui s'est fendu du commentaire suivant "Elle a mis la combi euh whaouh ...".
A écouter sans modération, et fort de préférence.



Jeudi : Vitalic
Autant de cheveux que Kojak, notre ami Vitalic, qui une fois n'est pas coutume, nous a délivré un set de très bonne facture. Pas de blabla (ni bonjour, ni bonsoir, on n'est pas au mariage de Tata Rachel), des résultats : 1h30 d'une techno sans concession, qui tabasse mais festive, avec, ce qui ne gâche rien, comme à l'accoutumée un accompagnement lumières de toute beauté qui te fait en prendre plein les oreilles donc mais aussi les yeux.
Passez l'intro un peu longuette et calez vous directement à la première minute de la vidéo. ça pique !



Vendredi : Georgio
Ma découverte musicale de ce début d'année. Un rappeur français intelligent (je ne veux même pas le comparer à Maître Gims, ou Black M, voire l'autre imbécile heureux Jul, au QI d’huître car ils sont rappeurs comme moi je suis mécanicien auto, c'est dire) qui cite Maïakovski (et qui incite son très jeune public - j'étais le seul en costume dans la salle, c'est une certitude, et surement le seul aussi de plus de 40 ans, à part peut être ses parents qui étaient là, Olympia oblige - à le lire aussi. ça change des Marseillais en Afrique du Sud). Énorme présence scénique, énergie thermonucléaire déployée sur scène, vraie complicité non feinte avec son acolyte Sanka (son "poto" depuis la sixième et ça se ressent sur scène). Véritable fusion, puisqu'ils se trouvent sans se chercher (ce qui n'est pas sans me rappeler les heures de gloire de nos amis de NTM et cette énergie réciproque entre JoeyStarr et KoolShen). Vrai artiste écorché, flow de fou, textes riches, énergie radioactive. Un de mes meilleurs concerts de l'année (et pour ne rien vous cacher, je commençais un peu à fatiguer de ma semaine. Et oui on n'a plus 20 ans même si on continue d'aller à des concerts pour les 15-20 ans)

vendredi 27 janvier 2017

Cuvée 2017

Pour bien démarrer cette nouvelle et frisquette année 2017 (si quand il fait -5, tu peux dire frisquet), ma petite sélection musicale à base d'électro, de techno et de rap. 
Vous allez me dire, te connaissant c'est très original comme mélange, on s'attendait tellement plus à des morceaux de free jazz à base de trompettes, de la kleine nachtmuzik et un peu de bossa nova dont je suis habituellement très friant (au fromage, oui, qu'on se le dise, cette année 2017 sera l'année des jeux de mots pourris ou ne sera pas).

1) Une petite pincée de rap avec Georgio
Ce dernier n'a pas choisi selon moi (enfin, comme d'habitude, c'est mon avis et je le partage) le meilleur nom de scène, d'autant plus pour un rappeur, ça sonne plus comme le nom du faux serveur rital de pizzeria qui oublie son accent au bout de 2mn. Bref Georgio, rappeur français, découvert grâce à ma fille (il faut rendre à Nono ce qui ...), qui pose de très beaux textes (ça nous change de Maître Gims, Black M, Jul, et toute cette demer comme disent les djeunes) sur de très belles instrus.
Si tu aimes Fauve (comme moi) et Orelsan (comme moi), tu aimeras Georgio (comme moi).
Ci-dessous un extrait de son dernier album, le morceau "Svetlana et Maïakovski", sur une pute russe à Paris, not very funny mais styly.



2) Un zest de techno avec Vitalic
Dernière (et quand je dis dernière je ne me fous pas de votre gueule, l'album est sorti il y a une semaine exactement) tuerie techno-ide du chauve français le plus connu (après M. Propre, Cassius et Kojak ah non lui il est américain) dont l'intro n'est pas sans rappeler les premières notes de "Fade To Grey" que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre.
Nothing more to say.



3) Un soupçon d'électro avec Kid Noize
No need for me to introduce you the man with the monkey face (dont je suis tombé in love après l'avoir vu juste 30 mn en première partie de Skip The Use et que je rêverais de voir sur un set complet mais il faut habiter en Belgique pour ça) car je vous ai déjà parlé de lui moultes fois.
Juste pour ceux qui ne connaissent pas, en live, ça donne ça :



Là encore extrait du dernier album, impossible de ne pas vous trémousser sur cette chanson (attendez le refrain à 00mn49s), obligé de danser je vous dis ou a minima comme moi de dodeliner de la tête :





 
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